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L’Ikigaï

L'ikigaï

L'Ikigaï : l'équation d'une vie pleine de sens

Ma rencontre avec l’Ikigaï

Été 2018, alors que ma reconversion professionnelle est déjà bien engagée, je découvre l’Ikigaï , l’oeil attiré par un bel entrecroisement de 4 cercles sur une publication Facebook.

Sa matrice me parle, c’est ça que je veux pour les années qui viennent, allier ce que j’aime, mes forces et compétences, contribuer à un monde meilleur (c’est l’interprétation que je fais de “Ce dont le monde a besoin” à ce moment là mais rien n’oblige à vouloir sauver ou embellir le monde, on peut bien entendu répondre à des besoins plus ou moins essentiels, matériels… pourvu que ça résonne en nous), et suffisamment gagner ma vie pour subvenir aux besoins de ma petite famille et à la réalisation de nos projets.

En remplissant mon Ikigaï, c’est un véritable projet de vie à long terme qui se dessine, incluant la façon dont je souhaite développer mon activité professionnelle, mais aussi englobant ce qui me nourrit, ce qui compte vraiment pour moi, ce qui est indispensable à mon équilibre.

Mon Ikigaï en guise de boussole, je trace petit à petit mon propre chemin, confiante dans la direction choisie.

Au fil de mes accompagnements, j’ai commencé à partager l’Ikigaï, à l’intégrer comme outil dans ma mallette de coach, jusqu’à ce qu’il s’impose comme évidence dans ce que j’ai envie d’apporter : De la clarté, du sens, le plaisir de vivre.

L'Ikigaï, un véritable un art de vivre

De son étymologie, iki (vie) et gaï (qui vaut la peine), rien que le mot inspire la joie de vivre.
Il nous vient de l’île d’Okinawa au Japon, reconnue comme l’une des 5 zones bleues, 5 lieux identifiés comme berceaux de la longévité et qui concentrent nombre de centenaires heureux et en bonne santé. Là bas, un des secrets de la longévité serait donc de vivre une vie qui en vaut la peine, d’avoir une raison d’être, une raison de se lever le matin.

Pour bon nombre d’occidentaux, la raison de se lever le matin est que le réveil a sonné et qu’il faut bien aller bosser… Bien souvent sans plaisir ni convictions. Juste pour manger, payer le loyer, les charges, les crédits, et s’offrir une parenthèse pour respirer quelques jours par an quand on le peut.

 

Alors comment faire pour passer à autre chose et vivre cette vie qui en vaut la peine ?

La recette de l’Ikigaï parait simple:

  • Rajouter une bonne dose de love dans son quotidien
  • Honorer ses talents
  • Servir les causes qui nous touchent
  • Être payé pour nos contributions

Si en théorie ça parait simple, dans la pratique, ça demande une bonne dose d’introspection.  Il est nécessaire de se poser les bonnes questions et d’aller chercher en profondeur pour espérer trouver son Ikigaï.

 

L'Ikigaï, générateur de bonheur ?

Pourquoi pas ? Il se pourrait qu’une graine de bonheur soit semée dans chacun de ses cercles…

Faire ce qu'on aime

Sur son temps perso comme au travail, faire ce qu’on aime rend heureux.

Remettre du love, du plaisir dans son quotidien est une priorité de l’Ikigaï.

Ce en quoi on est doué

Pas besoin d’être un artiste pour avoir du talent.

Chacun d’entre nous possède une combinaison unique d’aptitudes naturelles, de capacités, de potentiels à développer, de compétences. Les reconnaitre chez soi est un premier pas pour se retrouver dans “son élément”, comme un poisson dans l’eau.

Contribuer, être au service de ce dont le monde a besoin

Faire quelque chose qui a du sens, se sentir utile, contribuer,  c’est une bonne source de satisfaction.

Contribuer de bon coeur, c’est aussi faire les choses en accord avec ses valeurs, ses convictions, être aligné.

Recevoir en retour : Ce pour quoi on peut être payé

Identifier ses compétences, qualités et talents. Les mettre au service de ce qu’on aime, de ceux qui en ont besoin ou des causes qui nous touchent, et être payé pour cela. Plus motivant que de se lever parce que le réveil a sonné et qu’il faut bien aller bosser, non ?